Les enfants: quand ils nous montrent le chemin.

Je ne sais pas pour vous, mais mes plus belles créations de vie sont mes enfants. Trois enfants merveilleux qui m’ont beaucoup appris sur moi. Et qui sont ma source la plus sûre de gratitude au quotidien.

Pour eux je me lève le matin, pour eux je me réinvente chaque jour, pour eux  j’évolue, je grandis.

Ne cherchons pas à éviter à nos enfants les difficultés de la vie; apprenons leur à les surmonter.

Louis Pasteur

Etre Maman

Etre maman n’est pas chose aisée. En effet, aucun mode d’emploi n’est livré à la naissance de l’enfant et chacun est différent. Parce que chacun a une histoire de naissance différente. Chacun a aussi une sensibilité et des blessures différentes.

Blessure de rejet: son origine et ses conséquences

La Blessure d’abandon: origine et conséquences

Blessure d’humiliation: causes et conséquences

De par ma sensibilité, j’aurai pu choisir de les couver, de les garder près de moi. Pourtant quand ils ont trouvé leur voie, j’ai choisi de les laisser vivre leur vie. De les laisser faire leurs choix, quels qu’ils soient. Car je pense que pour faire nos propres choix dans la vie, nous devons nous confronter à nous-même. Ce qui implique de s’éloigner de nos parents. Rester près de nos parents, c’est adhérer d’une façon ou d’une autre à leur façon de penser, de voir, de faire.

Les jeunes enfants

Plus jeunes, ils ont besoin de nous, mais ils nous apprennent aussi beaucoup. L’art d’être parent, c’est l’art de grandir ensemble. Pour cela il faut être à l’écoute des besoins de l’enfant, tout en sachant rester à l’écoute de nos propres besoins. Mais aussi en sachant se réaligner quand nos schémas personnels s’avèrent destructeurs.

L’école à la maison

J’ai personnellement accompagné ma fille en école à la maison pendant 6 ans. Six ans de galère, six ans de saine confrontation au quotidien, mais six ans de bonheur. J’ai dû apprendre à l’écouter, à l’accompagner. Sans pour autant entrer dans la complaisance, sans la porter. Chaque jour a été une leçon pour elle comme pour moi. Une leçon d’équilibrage entre le Yin et le Yang.

Il a fallu dissocier le « je t’aime » du « je t’aime quand tu réussis ». Mais aussi lâcher mes schémas d’exigence, de perfectionnisme à outrance, qui détruisaient son énergie comme la mienne. Il a fallu apprendre à poser des objectifs réalistes, tout en lui montrant que parfois on pouvait se dépasser pour un objectif particulièrement motivant. Et que par contre quelques fois il fallait savoir se reposer quand le corps le réclamait. Et ce même si cela impliquait de remettre l’objectif à plus tard.

Au final, apprendre à vivre le moment présent, sans pour autant abandonner ses objectifs, dans le but d’atteindre ses rêves!

Aujourd’hui, c’est une jeune fille qui a confiance en elle. Qui sait se détacher de l’attente de l’autre pour revenir à ses besoins personnels. Elle sait s’organiser, se motiver, se mettre au travail, s’adonner à ses passions. Et fait preuve d’une grande maturité, d’un bel équilibre, malgré son hypersensibilité.

Elle m’a appris la bienveillance, la douceur, et m’a permis de remettre de l’équilibre dans ma vie.

Je vous souhaite de belles relations avec vos propres enfants. Apprenez à les écouter car ce sont nos maîtres à grandir.

 

Blessure d’humiliation: causes et conséquences

MainAujourd’hui, je vais vous parler de la blessure d’humiliation. Avec cette blessure, on touche à ce qui est de l’ordre de la honte, de l’abaissement, de la mortification, de la vexation et du dégout.

Les gens qui portent cette blessure ont honte d’eux-mêmes. Ils vont alors développer un corps qui leur fait honte, avoir des problèmes de poids. Et, tant qu’ils ne dépassent pas cette blessure, les problèmes de poids risquent de perdurer.

 Que celui qui se moque du boiteux prenne garde de le devenir. Quiconque parle avec plaisir des défauts des autres, entendra parler des siens avec honte.

Le dictionnaire des proverbes et dictons hindous (1980)

La blessure d’humiliation

Si elle touche la propreté ou la sexualité, elle se vit avec la mère. Par contre, si elle se situe au niveau de l’apprentissage, de la parole, elle se vit avec le père. On peut donc la vivre avec les deux parents!

Se croyant moindre que les autres et/ou malpropre, l’enfant, et plus tard l’adulte, va développer un comportement masochiste.

Peut être avez-vous entendu dans votre enfance:

        • Ma fille est une marie souillon.
        • Mon fils est un incapable.
        • Tu n’es qu’un/une bonne à rien.
        • Tu n’es qu’une merde.
        • Quel(le) gros(se) paresseux(se) tu fais.

et j’en passe…

Il en résulte qu’aujourd’hui, quand vous n’êtes pas satisfait de vous-même, vous vous traitez de la sorte!

Mais non content de vous humilier, vous pouvez aussi humilier les autres. Observez-vous en toute objectivité et en toute bienveillance.

Par exemple, si vous êtes licencié vous direz: « on m’a viré comme une merde » ou:  « j’ai été traité comme une poubelle ». Là où quelqu’un qui ne porte pas de blessure d’humiliation dira simplement: « j’ai été licencié. »

les mécanismes de sabotage

Le masochiste n’est pas fier de lui. Il est donc porté à se cacher. Ou bien, il se débrouille pour se faire mal ou se punir avant que quelqu’un d’autre ne le fasse!

Pour compenser sa détresse intérieure, le masochiste se crée des contraintes, des obligations, trop lourdes pour lui. Il se laisse donc facilement abuser par les autres. Il entre ainsi dans une boucle infernale où il en fait trop, ne reçoit jamais de reconnaissance et n’a plus de temps pour ses propres besoins.

Le chemin de la guérison

Etre conscient des mots que l’on se dit à soi même, est un premier pas vers la guérison. Donc, écoutez-vous parler de vous-même. Mais écoutez également les reproches que vous faites aux autres. Quand vous aurez appris à ne plus vous humilier, vous n’aurez plus besoin d’humilier les autres.

Il vous faut donc changer de regard sur vous.

Si on prend la paresse par exemple:

        • Etes vous vraiment paresseux?
        • N’avez vous vraiment rien fait de votre journée?

Soyez donc objectif. N’avez-vous pas fait le ménage, vidé le lave vaisselle, fait les courses, préparé le repas…

Alors, accordez-vous une pose. Tout le monde mérite des poses. La vie est faite de cycles, de saisons. Il y a un temps pour semer, un temps pour récolter, un temps pour se reposer! Vous ne changerez pas l’ordre des choses.

Avancez avec bienveillance, objectivité, cessez de vous fouetter.

Et par dessus tout, apprenez à savourer pleinement la pose du moment sans vous traiter de fainéant.

Parce que vous le valez bien!

Exercice pratique

Je me souviens de ce temps où je me forçais à me poser dans mon fauteuil le soir après le travail. Très vite une petite voix me disait: « tu dois sortir le linge de la machine, le repasser… ». Alors je lui répondais: « j’ai fait ma journée, je mérite une pose! ». Bien sûr le premier soir ça n’a pas tenu longtemps… mais chaque soir je me suis posée dans mon fauteuil et chaque soir je me suis répétée: « j’ai fait ma journée, je mérite une pose ». Ceci, jusqu’à savoir savourer ce moment pour moi. Il s’agit là d’une véritable rééducation. De cette façon, j’ai appris à mon parent intérieur à me traiter avec bienveillance. Alors, qu’avez-vous à rééduquer pour vous?

J’apprends à m’aimer

EFT humiliation

Le retour à l’équilibre

Quand ta blessure d’humiliation est en voie de guérison, tu prends le temps de te demander quels sont tes besoins avant de dire oui à l’autre, et tu oses le non. Donc tu deviens également apte à recevoir un refus à tes propres demandes. Et en même temps tu te permets de formuler tes demandes, tes besoins sans te juger dérangeant ou emmerdant. Tu n’as plus besoin de supporter des fardeaux trop lourds pour toi et tu retrouves ta liberté, ta légèreté.

Les talents du masochiste

Le masochiste équilibré est une personne audacieuse, aventurière, qui connait ses besoins. De ce fait elle sait respecter les besoins et la liberté d’autrui. Joviale, serviable, généreuse, altruiste, elle sait dédramatiser les situations.

Et enfin elle est fière d’elle même.

Conclusion

Comme je le répète chaque fois, l’Amour de soi est la seule voie qui mène à la guérison véritable. Car quand on sait s’aimer, on sait aimer l’autre. Si on se montre indulgent avec soi, on sait être indulgent avec les autres. Il en ressort plus de justice, plus de compréhension et moins de jugements.

Blessure d’abandon: origine et conséquences

Main

Aujourd’hui, je vais aborder la blessure d’abandon. Quand l’enfant nait, il quitte l’utérus maternel et on coupe le cordon ombilical. Hors, à ce stade il ne peut se débrouiller seul, il a besoin de soins et d’attention. Le mot qui me vient ici est attachement. Ainsi, s’il est suffisamment attachant, il recevra tous les soins dont il a besoin pour grandir.

Alors que le rejeté fuit, repousse, l’abandonné s’attache, recherche le soutien, les liens. Souvent les deux blessures coexistent chez un même sujet. Selon Lise Bourbeau, la première est transmise par le parent de même sexe que l’enfant, la seconde par le parent de sexe opposé.

Blessure de rejet: son origine et ses conséquences

 

Et puis vous vous rendez compte que l’amour n’est ni dépendance, ni possessivité, ni convenance, ni négation de soi ou de l’autre.

Pierre Rabhi

La blessure d’abandon

Blessure d abandon

Le sentiment d’abandon peut naître in utéro ou à l’accouchement si la mère se sent elle même abandonnée pendant cette période. Mais il peut aussi survenir plus tard: mise en nourrice, absence d’un parent, divorce, deuil… L’enfant se sent alors seul et recherche la présence, le soutien, l’attention.

L’attachement

Il s’attache à vous, il est triste, il pleure facilement! Ainsi, il manifeste le besoin de soutien, de présence pour faire ses devoirs, pour ses différentes activités. Il se montre dépendant.

Adulte, il vivra dans la dépendance affective. Alors, il s’attachera aux gens, aux lieux, aux objets, aux situations. D’où sa difficulté à quitter sa maison. Ou son ancrage à des lieux précis, pour les vacances par exemple.

Sa plus grande peur est la solitude.

Les mécanismes de sabotage

Le dépendant supportera longtemps l’insupportable, car l’idée de rompre le lien et de se retrouver seul le fait plus souffrir que la souffrance elle même.

Il recherche du soutien. S’il est dans l’impasse, en dernière extrémité, il tentera le suicide « appel au secours ».

Au stade avancé il préférera l’isolement, s’enfermera dans ses dépendances. Ainsi, il ne s’ouvrira plus aux choses ou aux personnes qu’ils désire tant auprès de lui par peur de souffrir à nouveau.

Guérir

Le dépendant nourrit sa blessure quand il abandonne. Quand il laisse tomber ses projets, ne s’occupe pas de lui, de ses besoins.

Pour guérir, là encore il faut aller à la rencontre de ses besoins, et prendre soin de soi.

Quand le dépendant arrivera à se sentir bien seul, sans regretter l’absence d’un proche, d’un enfant. Mais aussi sans rechercher de l’attention. Alors, il aura d’avantage envie d’entreprendre des choses et prendra conscience qu’il n’a pas besoin de l’appui des autres pour avancer.

EFT abandon et rejet

Le dépendant et ses qualités

Le dépendant équilibré sait ce qu’il veut. Aussi se montre-t-il tenace, persévérant. Il ne lâche rien quand il veut obtenir quelque chose. Comédien, il sait obtenir l’attention des autres. Il reflète la joie de vivre!

Conclusion:

La frontière entre dépendance et rejet n’est pas toujours aisée à saisir, d’autant qu’ils coexistent souvent.  L’essentiel au fond est que le rejeté ne s’aime pas, et que le dépendant a peur qu’on le laisse seul.

Le dépendant est « seul », là où le rejeté est « nul ».

Si je devais attribuer un végétal au dépendant ce serait le lierre luxuriant qui enserre la végétation. Quant au rejeté ce serait la mousse qui pousse à l’ombre.

Côté couleurs, j’attribuerai au dépendant des couleurs plutôt vives, au rejeté les pastels pour passer inaperçu.

Quand ces deux là s’attirent mutuellement, leur relation est faite de heurts et de chantage affectif.  D’où l’importance d’apprendre à s’aimer, à connaitre ses besoins avant de rechercher un ou une partenaire.

Au final, le meilleur conseil est:

Prenez soin de vous, aimez qui vous êtes et soyez vous même.

Le jour où j’ai commencé à m’aimer/Kim Mc Millen

 

Blessure de rejet: son origine et ses conséquences

MainAujourd’hui, j’aimerais vous parler de la blessure de rejet.  Pour écrire cet article, je vais me servir de mon expérience personnelle et du livre de Lise Bourbeau :

« Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même ».

Un diamant n’est qu’une pierre jusqu’à ce que l’esprit humain lui accorde une valeur

Père Anthony de Mello

La Blessure de Rejet

La blessure de rejet est une blessure très profonde. Le sujet qui la vit se sent renié dans son existence, dans son droit à exister. Cette blessure s’installe à l’origine même de la vie. Le rejeté est un bébé dont on ne voulait pas. Un enfant qu’on n’était pas prêt à accueillir. Alors, on a essayé de le perdre. Mais il s’est accroché! . Et pour peu qu’il soit en plus un enfant de la honte: « conçu hors mariage,  viol… » il portera également une blessure d’humiliation. Ce qui le conduira en prime au masochisme.

S’accrocher

Blessure de rejet

S’accrocher est essentiel à la vie! En effet, si l’œuf ne s’accroche pas au fond utérin il n’y a pas de bébé à venir. Pas de vie en devenir.  Le rejeté est donc une personne qui va s’accrocher à vous. Non pas pour vous étouffer, mais pour survivre. Car le rejeté est au contraire une personne qui va fuir, se faire toute petite, chercher à déranger le moins possible, à utiliser le moins de place possible. Lui ce n’est pas important! Il laissera toujours la place aux autres en premier.

Le rejeté écoute, cherche à comprendre, observe, il n’a pas besoin d’avoir raison. Il s’oublie. Si on lui demande quels sont ses besoins, il est incapable de le dire. Car il n’a besoin de rien. Par contre il prendra soin des autres, sera à l’écoute de leurs besoins  et saura y répondre.

Il se fait croire qu’en prenant soin des autres il est heureux! Alors qu’au fond il est profondément malheureux. Vous le reconnaitrez à ses yeux qui sont toujours remplis d’une tristesse profonde et insondable. Il s’échappe en rêvant, en se construisant des châteaux en Espagne. Il aspire à l’Amour avec un grand A.

Au final à force de tout faire pour qu’on l’aime il en perd sa propre identité, jusqu’à ne plus exister!

Mécanismes de sabotage

Pour atteindre sa quête d’Amour, il lui faudra cependant commencer par prendre conscience de sa problématique. En effet, en restant dans sa blessure il se sabote, en reniant ses besoins et/ou en rejetant ceux qui l’aiment. Car, n’oubliez pas on en peut pas l’aimer! Donc toute manifestation d’amour devient suspecte.

D’autre part, il se sent vite étouffé par des attentions trop pressantes. Alors il prend la fuite. Il faut savoir l’apprivoiser, le mettre en confiance, lui laisser de l’air.

Guérir

Quand il prend conscience de sa blessure de rejet, il apprend à s’aimer. Mais aussi  à prendre soin de lui, à aller à la rencontre de ses besoins essentiels. Et cela devient vital!

Alors il prend sa place, se donne le droit d’exister, ne se perd plus dans son monde intérieur.

Le besoin de prendre soin des autres comme par procuration, devient accessoire.

La solitude est alors très bien vécue et même nécessaire. Car elle permet de se reconnecter à soi. A son être profond, à ses désirs, à ses besoins.

Guérir sa blessure de rejet avec l’EFT

Apprendre à s’aimer

Le Rejet et l’argent

Comme le rejeté a la croyance qu’il ne mérite pas de vivre. Il pense également qu’il ne mérite pas l’argent. Il n’a pas de valeur, donc il rechigne à se faire payer pour son travail. Par contre il a beaucoup de facilité à donner.

Le Rejet et le travail

Pour être aimé, accepté par les autres, le rejeté va en faire trop, beaucoup trop. Il va se montrer perfectionniste car il faut qu’il soit parfait pour qu’on l’aime. Aussi, il se juge beaucoup. Et finalement s’expose au burn out.

Le Burn out: un tremplin vers l’amour de soi

Le Rejet et ses qualités

Doué, débrouillard, efficace, le rejeté sait se montrer créatif. Il aime travailler seul, et a un grand souci du détail. Il est apte à faire face aux l’imprévus et aux difficultés de la vie. Tel un chat, il retombera toujours sur ses pattes.

Quand il a dépassé sa blessure, il n’a nullement besoin des autres pour être heureux, même s’il aspire à une connexion forte et sincère à tous les niveaux. En matière d’Amour la barre est placée très, très haut. Sa capacité à aimer fait peur! Vous serez tenté de le fuir, mais pour lui aimer n’est pas Aimer. Pourtant la dernière chose dont il a besoin c’est d’un compagnon ou d’une compagne étouffante. Il a besoin d’espace, d’authenticité et de respect! Et de par son histoire il respecte toute vie!

Aimer ça s’apprend

 

Vendredi 30 octobre 2020: 1er jour de confinement

Aujourd’hui, je vais analyser la date du jour: Vendredi 30 octobre 2020. Elle marque le premier jour d’une nouvelle période de confinement. Et en numérologie, c’est un jour de vibration 8 (3 + 0 + 1 + 0+ 2 + 0 + 2 + 0 -> 8).

Le 8 au Tarot c’est la Justice, qui vient nous parler de rigueur, mais aussi d’équilibre.

Ainsi en recherche  d’un nouvel équilibre, on établit de nouvelles lois, de nouvelles règles.

Mais face aux exigences fortes, l’influence vénusienne du Vendredi amène beaucoup d’émotivité, de fragilité émotionnelle que nous allons devoir gérer.

Dans ce contexte, je vous conseille de vous tourner aujourd’hui vers des activités artistiques divertissantes et équilibrantes. Il est en effet  important de ne pas céder à la peur qui fragilise nos systèmes immunitaires.

Le 8 en numérologie est attaché à la réussite, à l’aboutissement de ses projets. Mais il ne dispose pas toujours d’une vision large des problèmes. Avec lui s’installe la notion d’infini qui fait peur. Et quand notre mental cède à la peur, nous perdons toute capacité de raisonnement logique. Ceci peut nous amener en ce vendredi 30 octobre 2020 à nous noyer dans nos émotions.

Le pouvoir du cœur

Face aux vagues émotionnelles, recentrons nous pour restaurer l’équilibre entre notre monde intérieur et le monde extérieur. Et surtout, n’oublions pas que le chiffre 8 est composé de deux cercles unis en un point central: le centre affectif. Il est un pont entre le monde spirituel et le monde matériel. Ce centre affectif c’est notre cœur. Donc centrons nous sur notre cœur, seul détenteur de vérité et d’amour. Amour infini, amour pour vous, pour l’humanité entière.

Pour illustrer notre sujet, vous invite à regarder les vidéos suivantes qui montrent à quel point notre cœur est puissant et comment exploiter sa sagesse:

Le Pouvoir du cœur

Prendre une décision importante

 

A présent, faisons les choix justes, les choix du cœur.

 

Je vous souhaite une belle journée créative!

 

Amour

 

 

Le Burn-out: un tremplin vers l’amour de soi

Le Burn-out, ou syndrome d’épuisement professionnel touche environ 18% des salariés et 21% des indépendants. Les 4 critères qui exposent un sujet au Burn-out sont:

 

        • La culpabilité
        • Le manque de confiance en soi
        • La dévalorisation personnelle
        • et le perfectionnisme.

Ainsi, tant que le sujet affecté par ce trouble n’a pas travaillé ces 4 axes, il ne peut pas guérir!

Concernée par le sujet, j’ai travaillé sur moi pendant des années pour:

        • Apprendre à me reposer
        • A me respecter
        • et apprendre à m’aimer

« Le jour où j’ai commencé à m’aimer »/Kim Mc Millen

Le mécanisme à l’œuvre

Les signes qui doivent alerter sont à la fois physiques et psychologiques. Ils sont entre autre la conséquence d’un déséquilibre entre le système sympathique et le système parasympathique. Au profit bien sûr du sympathique.

Le système sympathique

Son activation favorise l’apport sanguin aux muscles lisses et moteurs.  Ce qui nous permet d’être actif et de réagir en cas de stress ou de peur. Cependant, notre biologie a aussi prévu un système de relaxation, le parasympathique.

Le système parasympathique

Son activation permet le repos, le sommeil, la relaxation, la digestion. Mais aussi la réparation des tissus, la stimulation immunitaire, la sécrétion d’acétylcholine et de sérotonine…

Ainsi en cas de burn-out, le stress occupe le devant de la scène. Le sujet est tourné vers l’action. Il ne prend plus le temps de se reposer. Pour au final s’effondrer.

Pourtant, tous les sujets en burn-out que j’ai pu voir ont toujours refusé l’arrêt de travail!

Les symptômes

Aussi les principaux signes sont:

      • Un stress permanent qui n’est plus géré.
      • Une incapacité à se poser du fait de la culpabilité.
      • Une carence en sommeil, avec insomnies, puis fatigue écrasante.
      • Un réveil le matin avec des nausées, une boule au ventre.
      • Une perte de motivation, une perte de sens.
      • Et l’effondrement final.

La psychologie du Burn-out

Le perfectionnisme

Le perfectionniste agit de manière compulsive. Il a le sentiment constant de ne pas en faire assez, de ne pas faire assez bien. Ainsi il devient tyrannique envers lui même, mais également envers les autres. Et on entend :

      • Les autres ne font pas leur travail
      • Ce sont des paresseux (Ce qui sous entend la croyance: « je suis paresseux »).
      • Ce sont des incapables (Ce qui sous entend ici: « je suis incapable »)…

Cependant, la perfection, ça n’existe tout simplement pas! En effet, ce qui est parfait pour vous ne le sera probablement pas pour votre voisin.

La triste réalité est que le perfectionniste a décidé un jour de faire l’impossible pour qu’on l’aime! Alors il fera l’impossible pour que ses supérieurs l’aime. Voire l’impossible pour arriver à s’aimer lui même!

Pour sortir de l’impasse, il faut accepter que la perfection n’existe pas. Et je vous recommande de répéter régulièrement à votre mental:

« J’accepte que la perfection n’existe pas, et je décide de m’aimer car j’ai la certitude de faire au mieux chaque jour avec ce que je suis » 

La culpabilité

Pour travailler sur la culpabilité, il faut pouvoir user de son objectivité. Ainsi j’ai personnellement appris à m’observer de l’intérieur quand un sentiment coupable naissait en moi. Vous savez cette sensation de se liquéfier de l’intérieur. Et chaque fois je me répétais intérieurement: « Tu es étrangère à la situation dont on te parle, tu n’es pas coupable ». Ou: « tu as fait quelque chose de mal? Non! Alors Respire! ». J’ai fait cet exercice un grand nombre de fois. Aujourd’hui je sais rester objective et accepter mes erreurs, car je suis simplement humaine!

« Je peux accepter mes erreurs car je suis simplement humain! »

Le manque de confiance en soi

Avoir confiance en soi, c’est avoir la certitude absolue qu’en toute circonstance, on fait au mieux, avec ce que l’on est. Mais aussi avoir confiance en ses ressources intérieures. Ainsi, quoi qu’il se passe, on peux décider d’agir en accord avec ses propres valeurs.

J’ai donc appris à me positionner, à dire non, à dire stop!

La dévalorisation personnelle

Ce fut pour moi le combat le plus difficile. Accepter sa valeur!

Il s’agit d’arrêter d’en faire plus pour le même salaire. Ceci juste parce que l’on pense que ce que l’on fait n’est pas assez bien. On rentre alors dans la quantité car on ne croit pas en la qualité de notre travail.

Dans cette dynamique, on cumule les formations, les connaissances, mais jamais on ne se sent à la hauteur. Jamais on ne s’accorde de valeur.

J’ai alors réalisé que dans l’enfance, l’argent était un problème. Je connaissais par cœur: « L’argent en fait pas le bonheur ». Cependant, j’avais oublié le: « mais il y contribue! ». Et ce d’autant que toute notion de se faire plaisir était exclue du programme. J’ai même grandi en sachant qu’il n’y aurait pas de fête pour mon mariage à venir car c’était du gaspillage.

Au final, les croyances profondes qui m’ont menées au burn-out étaient:

        • Pour trouver le bonheur il faut travailler dur.
        • Le plaisir, la détente, la fête,  sont exclus de l’équation.

Donc, désormais j’applique les notions suivantes:

        • J’ai le droit au bonheur.
        • Je mérite de m’aimer et d’être aimée pour toutes mes qualités (Ne vous souciez pas de vos défauts, nous en avons tous).
        • Je m’autorise un travail qui me procure du plaisir au quotidien.
        • Et je respecte mes besoins (Nourriture saine, Repos, Détente, Jeu…).

Conclusion

Pour guérir, le travail sur soi est essentiel, mais non suffisant. N’oubliez pas de revoir votre alimentation et de pratiquer une activité sportive à votre rythme.

Vous pouvez aussi regarder:

Le Burn-out/ comment se reconstruire

 

Et si le Burn-out était une opportunité

Croyances, Pensées et Alimentation nous définissent

Comme la chenille se transforme en papillon, oser transformer vos croyances

Nous sommes un savant mélange de nos croyances, de nos pensées et de notre alimentation. Et pour faire évoluer nos croyances, nous avons besoin de la pensée et d’une biologie saine.

Les croyances

Parfois conscientes, parfois inconscientes, nos croyances sont à l’origine de nos façons de réagir. Elles se sont mises en place dès notre conception, et même avant. En effet, les croyances de nos parents s’impriment en nous,  au temps T de notre conception. Puis elles se sculptent au fil des mois de grossesse, mais également tout au long des mois qui suivent notre naissance. Tout ce que nous avons mis en place pour survivre, être accepté, dans l’univers qui était le notre est croyance. Par exemple, nous pensons qu’il faut se taire pour être aimé. Nous pensons qu’il faut travailler dur pour mériter un salaire…. Tout ceci est croyance.

Ensuite, tout au long de notre vie, nous pourrons soit les renforcer, soit les modifier. C’est ce qui l’on nomme le libre arbitre. Cependant, il est plus aisé de renforcer une croyance négative que de la modifier. A l’inverse, il est plus aisé de briser une croyance positive que de la renforcer.

Prenons deux exemples:

        • Nous nous aimons, nous pensons être beau (belle). Mais si à longueur de journée on nous répète que nous sommes moche, laid(e), nous finirons par adhérer à ce que nous renvoie l’extérieur.
        • Nous pensons être incompétent. Si l’extérieur nous répète régulièrement que nous sommes doués, nous nierons tout bonnement les faits! Et pour changer cette croyance, il nous faudra expérimenter et reconnaître par nous même, plusieurs réussites importantes à nos yeux.

Ainsi le négatif à bien plus de poids que le positif dans notre société. Pourtant la lumière est bien plus forte que l’ombre! Mais tant que nous placerons la lumière à l’extérieur de nous, nous nous détruirons!

Transmettre l’amour

Dans la logique animale, concevoir un enfant, c’est transmettre la vie, assurer la descendance de l’espèce. Hors nous sommes des êtres humains, et être humain, c’est concevoir dans l’Amour. Transmettre l’Amour. L’accouplement est simplement un acte animal.

Savoir Aimer

Bien sûr aimer n’est pas simple. Comment pouvons nous aimer si nous ne nous aimons pas nous même!

Ainsi apprendre à aimer c’est d’abord apprendre à s’aimer.

« Le jour où j-ai commencé à m-aimer »/Kim Mc Millen

Quand nous nous aimons vraiment, et seulement alors, les miracles opèrent.

Ensuite, il est de notre devoir de nouer des relations simples, humbles et respectueuses avec chaque être humain, à commencer par nos enfants. Les enfants sont des adultes en devenir, et l’avenir de la société. Si nous ne leur transmettons pas des valeurs lumineuses, ils devront les apprendre par eux même. Alors il faudra attendre une nouvelle génération pour que l’Amour puisse briller dans la société humaine.

Reconnaitre nos croyances

L’une des façons de reconnaitre nos croyances est de noter au centre d’une feuille un mot clé. Ensuite, il suffit de laisser venir et de noter tout ce que le sujet nous inspire. Puis nous soulignons tout particulièrement les mots qui provoquent des émotions en nous.

Nos émotions sont toujours notre repère.

Les pensées

Quand nous pensons, nous appliquons à notre présent le filtre de notre passé. Et c’est dans ce seul temps que nous pouvons agir sur nos croyances. Les pensées sont créatives. Elles créent notre futur. les Croyances sont figées. Elles parlent de notre passé. Aussi rester sur ses croyances, c’est s’assurer d’une continuité dans sa vie.

Expérimenter le présent

Si nous voulons changer une  croyance nous devons expérimenter le présent de façon objective. C’est à dire, apprendre à dissocier l’expérience des émotions. Toute émotion nous cristallise sur notre passé, et nous empêche de changer notre regard.

Par exemple, si 10 personnes sont témoin du même accident, pas une n’en fera le même récit. Pourtant elles ont toutes assisté à la même scène. Mais chacune racontera l’accident au travers de ses émotions, de son histoire, de ses croyances. Et chacune utilisera un vocabulaire qui parlera de ses émotions, de son histoire et de ses croyances.

Libérer les émotions

Pour nous permettre de survivre, notre cerveau dispose d’un court circuit émotionnel. Avant toute analyse objective, les évènements sont lus au niveau émotionnel. Nos émotions nous permettent de réagir rapidement, instantanément. Mais rester dans nos émotions nous emprisonne dans la survie.

Hors la vie est évolution, autorisons-nous à évoluer.

Nous sommes des étincelles de vie.

Quand nous sommes capables de dépasser nos émotions, nous entrons dans la paix, la gratitude. Ce sont des sentiments intenses et puissants.

Evacuer sa colère intérieure

EFT et émotions

Prendre du recul et s’apaiser grâce au Neurofeedback Dynamique

Accepter l’échec

Expérimenter, c’est aussi accepter l’échec. En effet, tout échec marque un apprentissage. A condition bien sûr de l’accepter!

Accepter le passé

Rien n’est tout noir ou tout blanc. Notre passé contient aussi du positif. A nous d’accepter de le voir. Aussi demandons nous régulièrement ce que nos expériences douloureuses nous apprennent. Quelle leçon, quel enseignement sur nous même.

Nous acceptons notre passé quand il devient cadeau.

Alors bien sûr si vous avez été agressé, vous allez me dire où est le cadeau là dedans! Pour le voir il vous faudra sortir de l’émotion. Evacuer la colère. Puis vous demander en quoi vous ne vous respectez pas au quotidien. En quoi vous vous agressez. Alors vous changerez de comportement. Vous n’accepterez plus de côtoyer les même personnes. Et vous pourrez changer votre avenir. Cependant, si vous restez sur votre colère, vous resterez une victime. Et le bourreau ne sera jamais assez puni à vos yeux, car toute votre vie vous allez vivre avec ce passé d’agression.

Le miroir

En réalité il ne faut jamais oublier que dans une relation nous sommes deux. Ainsi ce que nous vivons à l’extérieur n’est que le reflet de notre intérieur.

      • Si je me respecte, je respecte les autres et je ne les accuse plus de ne pas me respecter.
      • Mais si je suis en colère, j’attire de la colère.
      • Si je me dévalorise, je vais être rabaissé.
      • De même, quand je veux sauver le monde, j’attire des gens à l’égo démesuré.

 

Soyez paix, humilité, simplicité.

 

Cependant, n’oublions jamais que la façon dont l’autre nous voit ne parle que de lui.

 

Ainsi, tout ce qui vous touche ne parle que de vous et de votre histoire.

Alimentation

Vous avez souvent entendu dire que nous sommes ce que nous mangeons. Et la science confirme aujourd’hui que notre alimentation influence notre humeur, et nos comportements.

Comment l’alimentation influence notre cerveau

Mais l’alimentation parle également de la façon dont nous nous respectons, respectons notre corps. Et l’alimentation est un sujet où les croyances sont multiples.

Alimentation et croyances

Quand nous nous respectons, nous sommes capables d’être à l’écoute de notre corps. Mais si les croyances s’en mêlent, cela devient différent:

        • Surtout pas sauter de repas
        • Il faut vider son assiette
        • Faites un petit déjeuner copieux le matin…

Hors qui mieux que notre corps peut nous renseigner sur notre faim.

Alimentation et respect de soi

Si nous nous respectons, nous mangeons ce qui convient. Nous privilégions les aliments nutritifs, sans pour autant exclure quelques aliments plaisir. Nous excluons de notre alimentation ce qui ne nous conviennent pas. Et pour finir, nous éliminons ce que nous n’avons pas assimilé.

Maintenant il s’agit de l’appliquer au niveau de nos croyances. Apprenons à faire le tri. A les reconsidérer. Autorisons nous à modifier celles qui ne nous conviennent pas. Puis a éliminer celles qui nous sont toxiques.

 

Je vous souhaite une bonne digestion et une belle évolution!

 

« Le jour où j’ai commencé à m’aimer »/Kim Mc Millen

Aujourd’hui je vous propose le texte de Kim Mc Millen: « Le jour où j’ai commencé à m’aimer » publié en 2001. Ce petit texte sur l’estime de soi a beaucoup de succès dans ma salle d’attente. Aussi j’ai décidé de vous le partager sur mon site.

Il est souvent attribué à Charlie Chaplin.

Version française: « Le jour où j’ai commencé à m’aimer »

 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai commencé à voir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts, et que ce n’est pas le moment.

Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle : RESPECT.

 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle.

Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle : MATURITÉ.

 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Alors, j’ai pu me relaxer.

Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle : CONFIANCE EN SOI.

 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai cessé de gaspiller mon temps libre et j’ai arrêté de faire de grands projets pour le futur. Maintenant, je fais ce que j’aime, quand ça me plait et à mon rythme.

Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle : LA SIMPLICITÉ.

 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,                                                  Je me suis libéré de tout ce qui n’était pas bon pour ma santé: la nourriture, les gens, les choses, les situations. Tout ce qui baissait mon énergie et m’éloignait de moi. Au début, j’ai appelé cette attitude un sain égoïsme.

Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle : L’AMOUR DE SOI.

 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai cessé de chercher à toujours avoir raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.

Aujourd’hui, j’ai découvert : L’HUMILITÉ.

 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai cessé de vivre dans le passé et de me préoccuper de l’avenir. Maintenant, je vis au Présent, là où Toute la Vie se passe.

Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois et ça s’appelle : LA PLÉNITUDE.

 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal quand je vais contre mes propres convictions.

Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle : L’AUTHENTICITÉ.

 

Nous n’avons plus besoin de craindre les disputes, les confrontations de toutes sortes. Même les étoiles entrent en collision, et de leur rencontre naissent de nouveaux mondes.

Aujourd’hui, je sais que c’est LA VIE!

 

 

Version originale : « As I Began to Love Myself »

 

As I began to love myself I understood how much it can offend somebody as I try to force my desires on this person, even though I knew the time was not right and the person was not ready for it, and even though this person was me.

Today I call it “RESPECT“.

 

As I began to love myself I stopped craving for a different life, and I could see that everything that surrounded me was inviting me to grow.

Today I call it “Maturity“.

 

As I began to love myself I understood that at any circumstance, I am in the right place at the right time, and everything happens at the exactly right moment, so I could be calm.

Today I call it “SELF-CONFIDENCE“.

 

As I began to love myself I quit steeling my own time, and I stopped designing huge projects for the future. Today, I only do what brings me joy and happiness, things I love to do and that make my heart cheer, and I do them in my own way and in my own rhythm.

Today I call it “SIMPLICITY“.

 

As I began to love myself I freed myself of anything that is no good for my health – food, people, things, situations, and everything the drew me down and away from myself. At first I called this attitude a healthy egoism.

Today I know it is “LOVE OF ONESELF“.

 

As I began to love myself I quit trying to always be right, and ever since I was wrong less of the time.

Today I discovered that is “MODESTY“.

 

As I began to love myself I refused to go on living in the past and worry about the future. Now, I only live for the moment, where EVERYTHING is happening.

Today I live each day, day by day, and I call it “FULFILLMENT“.

 

As I began to love myself I recognized that my mind can disturb me and it can make me sick. But As I connected it to my heart, my mind became a valuable ally.

Today I call this connection “WISDOM OF THE HEART“.

 

We no longer need to fear arguments, confrontations or any kind of problems with ourselves or others. Even stars collide, and out of their crashing new worlds are born.

Today I know THAT IS “LIFE“!

 

Version française en PDF:

Le jour où je me suis aimé
En cliquant sur le titre vous pourrez laisser un commentaire à la fin de l’article ♥

 

Le Tarot un outil en développement personnel

La numérologie et tout particulièrement le tarot sont une aide précieuse en matière de développement personnel.

En effet notre cerveau aime les symboles. Ainsi quand je demande à un patient de décrire une lame de tarot, j’ai un accès direct à son inconscient. Et, sans même s’en apercevoir, il me livre ses clés perdues.

Nous détenons tous nos propres réponses!

La mort / XIII

Tarot - Lame XIII
XIII – La Mort

Avant de lire la suite, je vous propose de regarder cette lame et de noter sur un papier tout ce qu’elle vous inspire. Laissez-vous immerger dans l’image, dans le symbole. Ressentez, prenez tout votre temps.

La mort est ma carte préférée. Cette lame effraye de nombreuses personnes. Mais, comme le papillon, elle symbolise la  métamorphose, l’évolution. Elle nous demande de faire place nette. De laisser derrière nous le passé, pour évoluer vers la lumière (  Accepter son passé pour cheminer vers son futur  )  On peut aussi y voir le travail, le labeur, le paysan.

Si on se concentre sur la partie inférieure,  on remarque la faux rouge (le sang?, la colère?), les os, les mains, les tête coupées… Mais quand on lève les yeux la lumière apparaît. A mi chemin le bassin (où s’épanouissent les bébés) évoque un papillon. Ainsi, s’ouvrir à sa créativité mène à l’épanouissement. Pour finir, la colonne vertébrale ponctuée des couleurs des chakras, nous conduit vers le soleil, la lumière.

En d’autres termes, la transformation est radicale, définitive. Après une phase de dépouillement, une quête d’identité , l’évolution est spirituelle.

Vous en avez probablement fait une lecture tout à fait différente. Et c’est tout à fait normal. Car vous l’avez vue au travers de votre histoire personnelle. Votre interprétation parle de vous. Et vous pouvez vous y attarder pour essayer de mieux vous comprendre.

Si vous l’avez lue de façon négative, entraînez-vous à  en percevoir le positif. Ainsi, vous poserez un regard différent sur votre vie et sur le monde.

En effet, si vous voulez changer quelque chose dans votre vie, vous devez changer votre perception des choses.

Conclusion

Si vous possédez un jeu de tarot, vous pouvez étudier chaque jour une nouvelle carte. Voyez ce qu’elle vous inspire. Puis apprenez à en découvrir le message positif. Il n’y a pas d’erreur possible, chaque mot qui vous vient parle de vous, de votre vision des choses, de votre histoire personnelle.

Vous trouverez sur ce site une lecture des autres lames à l’avenir.

 

Savoir accueillir la colère et la transformer

La colère est une émotion, ni bonne ni mauvaise. Elle m’indique qu’une partie de moi est en souffrance, que je ne respecte pas mes valeurs profondes. Mais si je veux avancer sur mon chemin, je dois accueillir mes colères, apprendre à les gérer.

Comment puis-je avoir des relations saines quand je suis dans des énergies de colère?

Gérer la colère

Tout d’abord, je reconnais et je situe ma colère: est-elle dirigée contre l’extérieur ou contre moi?

Ensuite, je mets un mot sur ma colère: qu’est-ce qui m’irrite, m’insupporte? Par exemple: « je ne supporte pas les gens égoïstes ».

Puis je prends un papier, un crayon et j’écris toutes mes émotions, mes frustrations, sans censure. Une fois que j’ai fini, je ne relis pas et je brûle ma feuille.

Parfois écrire ne me convient pas, alors je ramasse un galet sur la plage, je lui crache toute ma rancœur, et je le rejette à la mer.

Mais je peux aussi me montrer créative et trouver une autre façon d’évacuer cette énergie.

Cependant je sais que des études ont montré qu’après une expérience traumatisante, les gens qui écrivent leurs émotions chaque jour s’en sorte mieux que ceux qui ne le font pas.

Je peux également compléter cet exercice avec les petits bonhommes allumette: https://www.youtube.com/watch?v=Slg8jZY2Hd4

Ecouter son intérieur

Puis, je me reconcentre sur moi, et je me demande en toute honnêteté en quoi je me montre égoïste envers moi-même. De cette façon, je vais à la rencontre de ce qui souffre en moi. Ainsi je n’accuse plus l’extérieur de ma souffrance, mais j’écoute ce que ma souffrance me dit pour pouvoir agir en conséquence.

Au final il m’appartient de trouver des solutions pour répondre à ma souffrance. C’est ici que ma créativité personnelle doit s’exprimer à son maximum. Il en va de mon bien être. Mais je ne me renie plus. Et si je choisis de ne rien changer, j’en prends l’entière responsabilité. Je n’accuse plus l’extérieur d’être responsable de mon malheur.

Avoir confiance en la vie

Je sais que la vie est juste, elle n’a aucun grief contre moi. Si je suis injuste envers moi-même, je la jugerai injuste envers moi. Si je suis juste envers moi elle sera juste envers moi.

Par contre, cela ne fonctionne pas dans l’autre sens, cela ne fonctionne jamais dans l’autre sens! Donc inutile d’attendre que la vie soit juste avec moi pour être juste avec moi.  Et c’est souvent comme cela que l’on raisonne n’est-ce pas? « Mais si l’autre n’était pas comme cela alors… ». Je le répète ça ne fonctionne pas dans ce sens. Je dois changer pour que l’extérieur change.

Sois le changement que tu veux voir dans le monde

                                                                                                Mahatma Gandhi

Conclusion

Pour finir à chaque fois que je suis alignée sur mes besoins, mes valeurs, je suis dans l’abondance. Quand je me renie, je me coupe de l’abondance.

C’est la loi de l’attraction!

 

Pour aller plus loin je peux aussi lire: Accepter son passé pour cheminer vers son futur

 

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